martes, 27 de septiembre de 2011

DECEPTION/DECEPCIÓN (1)

Moi, qui au long de ma vie ai résidé à l'étranger successivement dans huit pays, avais toujours eu pour principe de ne jamais m'ingérer dans les affaires politiques des municipalités qui m'accordaient leur hospitalité. Ce qui concrètement signifie ne pas user de mon droit de vote en tant que citoyenne européenne.

En ce printemps 2011, j'ai cassé mon principe. J'avais rencontré un groupe de jeunes gens dynamiques, enthousiastes, pleins d'idées nouvelles, et surtout, décidés d'en finir avec les vieilles coteries de la mairie et la folie des grandeurs qui ont accumulé 40 millions de dettes pour une population d'une trentaine de milliers d'habitants. Ces jeunes avaient fondé un nouveau parti politique basé sur une charte qu'ils avaient tous signés devant notaire. Ils employaient les mêmes vocables que moi, c'est-à-dire :austérité, sens commun, baisse ou pour le moins maintien du niveau de l'impôt foncier ( qui ici est exorbitant comme le confirment plusieurs jugements ), participation citoyenne par Internet ( on pense aux Piraten de Berlin ),  entre autres. En plus, un détail attendrissant, leur budget s'élevait à € 700.

Lorsque j'ai reçu un courriel du parti me demandant de les appuyer, j'ai tout de suite consenti sans hésiter. J'ai donc, un peu comme Harazem ( voir son article du 24.05 ECOLO Y YO dans son blog http://manuelharazem.blogspot.com/ ), modestement distribué des brochures, plaidé dans mon entourage pour ces jeunes gens et aidé à effectuer les mailings d'usage. Je pense avoir convaincu ainsi une quarantaine de votants, si j'en crois les réactions de mes amis et voisins au lendemain des élections.

Nous avions obtenu (remarquez l'emploi de la première personne du pluriel ) trois conseils et la coopération de deux autres partis aux convictions compatibles pour former une nouvelle majorité à la mairie. J'ai donc vite envoyé un message de félicitations au chef du parti qui, soit dit en passant, est non seulement intelligent et sympathique mais, en plus, très beau. Attention ! Je ne dis pas que c'est son physique qui m'a influencée. Ou peut-être...?

à suivre...

Yo, que a lo largo de mi vida he residido sucesivamente en ocho países extranjeros, había tenido siempre como principio no ingerirme en asuntos políticos de las municipalidades que me prestaban su hospitalidad. Lo que concretamente significa no usar de mi derecho de voto de ciudadana europea.

En esta primavera del 2011, rompí con mi principio. Había conocido a un grupo de jóvenes dinámicos, entusiastas, llenos de nuevas ideas, y sobre todo, decididos en acabar con las viejas camarillas y la locura de los proyectos megalómanos de la alcadía que acumularon unas deudas de 40 milliones de euros, hasta la fecha, para una población de unos 30 millares de habitantes. Esos jóvenes habían creado un nuevo partido pólitico basado en una Carta firmada por todos ante notario. Empleaban los mismos vocables que yo, es decir : austéridad, ahorro, sentido común, baja o por lo menos mantenimiento del nivel actual del IBI ( aquí exorbitante, como lo confirman varios juzgados), participación ciudadana por Internet ( griño a los Piraten de Berlín ), entre otros. Además, un detalle conmovedor, tenían un presupuesto de tan sólo € 700.

Cuando recibí un correo electrónico pidiéndome que les apoyase, consentí enseguida sin vacilar mucho. Entonces, un poco como Harazem (véase en su blog Supersticiones http://manuelharazem.blogspot.com/ la entrada del 24.05 ECOLO y yo ), comedidamente distribuí folletos, pleiteé a mi alrededor por esos jóvenes y ayudé en trabajos de mailing. Pienso haber convencido a una cuarentena de votantes, si puedo creer las reacciones de mis amigos y vecinos una vez pasadas las elecciones.

Habíamos ( nótese el uso de la primera persona del plural ) conseguido tres consejos y la cooperación de otros dos partidos de convicciones compatibles para formar una nueva mayoría en la alcadía. Mandé pues un mensaje de felicidades al jefe del partido quien, sea dicho de paso, no sólo es inteligente y muy simpático sino también muy guapo. ¡ Cuidado ! No digo que este último detalle me haya influenciado. ¿ O tal vez... ?

seguirá....

jueves, 28 de julio de 2011

CÉDULA REAL 4





Las 5 páginas del manuscrito que siguen al texto castellano son estas. ¿ Podría ser hebreo ?¿ Nos dicen algo más sobre el tal Christobal ? Espero vuestra opinión. En septiembre intentaré entrar en contacto con la Facultad de Filosofía y Letras de Granada que, al parecer, tiene un departamento de Literatura Hebrea Medieval. ¿ Os ocurre otra vía mejor ?

domingo, 24 de julio de 2011

CÉDULA REAL 3

Esta es la última página en castellano:

Y Sus hijos ninguna Persona
le Conprase hazienda pues (3.1)
tenia bendidos, el lugar del
Castro que havia heredado desu
Padre, Y lamayor porción del
lugar deZorita, que hubo
en ...que (3.2) por el dicho Castro

Como podéis ver al pie de cada página
hay un garabato que seguramente es la firma del escribano (¿?). Las cinco páginas que siguen son de mucho cuidado pero no quiero revelar nada de momento . Hasta mañana pues.
 


sábado, 23 de julio de 2011

CÉDULA REAL 2

Ahí va la segunda página :
Villa Se pregona, que fuese público
y notario atodos los Vecinos
de los Reinos de Castilla, Como
Una Carta de sus Altezas par (2.1)
nada que dicho Lope de Quesada
Contenia Como dicho Christobal
de S. Miguel nohaÇía Vida
mari dable con dicha Sumuger
por Ser hombre de mal Pecado (2.2)
y que hundía (2.3) malamente Sus Vienes
muebles y Paizes (2.4), a causa de
Max(2.5) enbarr (2.6) a ganado con
una Manceba Casada que
publica mente llevo deledesma
para el Reino deportugal
y que por el daño que resul
tara (2.7) con (2.8) dicha Elena
¿ Qué me decís ?

Mañana la tercera página. Estoy harta de pelearme con la alineación, no hay manera de domarla.

lunes, 18 de julio de 2011

CEDULA REAL 1

Esto sí que es un enigma. ¿ Quién puede resolverlo ? He intentado descifrar este documento igualmente encontrado en la carpeta de mi difunto padre. Es una cédula real datada 14 de diciembre 1.483. Puede que sea una transcripción posterior. La foto de la primera página o portada devuelve bien el color del grueso papel escrito por los dos lados. Son 4 hojas más la tapa, antes mencionada, cosidas con un fino cordel de algodón para formar un cuadernillo. Empieza con la palabra "Coritas" que, en este contexto, supongo significa "abreviado". Después de las palabras con las que tengo dudas, he puesto una paréntesis con un número. Si alguien de vosotros, queridos lectores todos tan cultos, logra descifrar este texto mejor que yo, ¡ adelante !. Pronto publicaré las
paginas siguientes.


Çoritas
s. Lope degosas                                   Publicazion

s. de Aranza

De Çedula Real para que
a Christobal de S. Miguel
mal entretenido de p. no hazer
vida consumuger nole compre
nadie hazienda p. tener en (1)
venados dos lugares
en la Villa deledesma a 14 días
del mes de diziembre de 1483 - Mando
Pedro de Aranzo Alcalde, en 
ella en presencia de fernando
deSoto Seruiano ; de pedimento (2)
delope dequesada vecino de la
Cuidad de Salamanca Padre de 
Elena de quesada Miguel (3) excelente (4) pr
rima (5) de Aptobal (6) de S. Miguel
Vecino y legidor de la Villa L
le desma, Y en (7) Virtud (8) de zédula
de Sus Magestades (9)  por Juan
Albarez pregonero en dicha

como podéis ver, la presentación es horrible pero mi blog hace lo que le da la gana.


viernes, 24 de junio de 2011

LA NUQUE DE MARY

Jusqu'à ce matin, je ne savais pas qui j'étais. On m'appelle Mary. Maintenant je sais que ce n'est pas mon vrai nom. Je n'ai d'autre foyer que l'internat où j'ai toujours vécu. La directrice dit que j'ai 10 ans. Je pense que je suis quelqu'un de spécial puisque mes yeux sont bleus et mes cheveux blonds. De temps en temps j'entends les grandes personnes commenter la perfection de mon physique. Elles disent que je suis excessivement belle. Je ne suis pas de cet avis ; j'ai un grain de beauté, une étoile, sur la pommette droite qui ne me plaît pas du tout. Je n'ai pas de famille. Deux fois par an, je reçois la visite d'un monsieur dont je ne connais pas le nom. Il m'emmène à l'infirmerie où sans lui je n'irais jamais. Je ne tombe pas malade, je n'ai pas besoin de vaccins. Mes compagnes racontent qu'à l'infirmerie on est cajolé. Je n'en suis pas sure mais peut-être qu'une petite grippe me ferait du bien.

Le monsieur,  la seule personne que je connais en dehors de celles de l'internat, ouvre sa mallette, sort ses instruments et m'ausculte partout, en dehors et en dedans. Il possède un ordinateur qui attire ma curiosité ; une espèce de plaque vitreuse qu'il tripote sans arrêt pendant que je réponds à ses questions. Une fois, je lui ai demandé où se trouvait le disque dur. Il est aimable ce monsieur, je crois. Il l'a sorti de sa poche, et me l'a monté ; une petite boîte noire de la grandeur d'une boîte d' allumettes comme celle dont j'ai vu la photo dans un vieux livre de la bibliothèque. Moi, je préfère lire dans les livres de papier plutôt que dans les livres électroniques. Là aussi je me distingue des autres filles d'ici. Les questions du monsieur sont toujours les mêmes. Mes réponses ne varient jamais bien que je réponde consciencieusement.
- Ces derniers mois, as-tu été malade ?
- Non.
- As-tu mangé excessivement ?
- Non.
- As- tu menti ?
- Non.
- T'es-tu fâchée ?
- Non.
- As-tu volé ?
- Non.
- As-tu été malheureuse ?
- Non.
- As-tu été heureuse ? ( Tiens, une nouvelle question)
- Je ne sais pas. Je crois que sans malheur, pas de bonheur.
- Hmm.
Nous continuons ainsi pendant une demi-heure au bout de laquelle il me passe l'écran de son ordinateur dans le dos, ce qui me chatouille la nuque. Chaque fois, avant de partir il dit "parfait". Moi je suppose qu'il veut dire "excellent". "Excellent" est la note que j'obtiens à toutes les matières scolaires, à celle-ci aussi.

Catherine et moi, nous partageons la même chambre. Elle est plus âgée que moi de cinq ans. Je crois qu'elle aussi est aimable. Ce matin, je lui ai demandé de tresser ma chevelure. Elle avait presque terminé lorsqu'elle a poussé un petit cri.
- T'as quelque chose de bizarre dans la nuque. Un rond dur sous la peau. Putain ! c'est pareil que la puce électronique de mon chien.
Elle a couru chercher son portable, et s'est mise à me scanner la nuque.
- Putain, c'est fou ! T'as au moins 20GB de données fourrés dans le cou. J'me trompe pas. C'est une puce. Viens, on va à la salle d'informatique.
Elle a connecté son portable à la prise USB de l'un des centaines d'ordinateurs du collège, et nous avons commencé a lire.
- C'est tout en anglais. T'y comprends rien, n'est-ce pas ? Laisse-moi déchiffrer tout ça, et après j'te raconte.
Pendant que je l'observais, je me suis demandé si je ne ferais pas mieux de la conduire à l'infirmerie. Elle était au bord d'une syncope.
- Oh, petite Mary, tu es transgénique.
- Comme le maïs, le soja, le brocoli, les cochons ?
- Oui, ma chérie. T'appartiens à la multinationale Masancta Unlimited. Ton nom est Lab-Sur-2134-lit.251-2/10. Le brevet est déposé à l' Europäisches Patentamt, München, Allemagne. 2134 ça doit être l'année de ta naissance. Lit pourrait signifier "litter", portée en anglais. T'as été la deuxième de dix qui sont nées de la même grossesse dans un laboratoire de Surrey, Angleterre. Tes neuf soeurs et toi, vous êtes toutes identiques. Vous avez toutes le logo de Masancta, une étoile, sur la pommette droite. Ta mère est décédée pendant la césarienne. Etudiante en biologie, elle s'était prêtée à l'expérimentation en échange de 5 000 livres sterling. Attends ! Ici ça met que quelqu'un, le nom n'y figure pas, à déjà une option sur toi. Il a payé 10 millions de dollars, 10 millions de plus seront dûs le jour de ta livraison. Chaque mois, il envoie les frais de ton éducation par virement bancaire à l'internat. Regarde, ici il est stipulé que ta santé aussi bien corporelle que mentale est garantie jusqu'à ce que tu atteignes l'âge de cent ans. Pour chaque enfant que tu engendreras, le paiement convenu est de 50 000 dollars, valeur de 2134, à laquelle on ajoutera le pourcentage de l'inflation annuelle déterminé par la Banque Internationale de Développement et de Soutien aux blablabla. Cette clause s'étend à tous tes descendants, ceux-ci restant propriété de Masancta Unltd.

c'est en sanglotant que Catherine a éteint l'ordinateur. Moi, je n'ai pas pleuré. Je ne sais pas pleurer 

jueves, 16 de junio de 2011

LA NUCA DE MARY

Por una vez, ninguna anécdota sino un cuento. Se lo dedico a David García A. al que le gusta, como a mí, la fruta con gusanos.

Hasta esta mañana no sabía quién era yo. Me llaman Mary. Ahora sé que no es mi verdadero nombre. No tengo otro hogar que el internado donde siempre he vivido. La directora dice que tengo 10 años. Creo que soy alguien especial pues mi pelo es rubio y mis ojos azules. A veces oigo a los mayores comentar la perfección de mi físico. Dicen que soy excesivamente bella. Yo no lo veo así ; tengo un lunar, una estrella en el pómulo derecho, que no me gusta nada. No tengo familia. Dos veces al año, recibo la visita de un señor cuyo nombre no conozco. Me lleva a la enfermería donde no suelo parar nunca. No enfermo, no necesito vacunas. Mis compañeras cuentan que en la enfermería te miman. No sé, quizá una gripe me vendría bien.

El señor, la única persona que conozco fuera de las del internado, abre su maletín, saca sus instrumentos, y me ausculta por fuera y por dentro. Tiene un ordenador que atrae mi curiosidad ; una especie de placa vidriosa a la que manosea sin cesar mientras contesto a sus preguntas. Una vez, le pregunté que dónde estaba el disco duro. El es amable, creo. Lo saco de su bolsillo, y me lo enseñó. Una cajita negra del tamaño de la caja de cerillas cuya foto vi en un antiguo libro de la biblioteca. A mí, me gusta más leer en los libros de papel que en los electrónicos. En esto, también soy diferente de las demás chicas de aquí. Las preguntas del señor son siempre las mismas. Mis respuestas no varían nunca aunque contesto concienzudamente.
- En estos últimos meses ¿ has estado enferma ?
- No.
- ¿ Has comido excesivamente ?
- No. 
- ¿ Has mentido ?
- No.
- ¿ Te has enfadado ?
- No.
- ¿ Has robado ?
- No.
- ¿ Has sido infeliz ?
- No.
- ¿ Has sido feliz entonces ? (una pregunta nueva)
- No lo sé. Creo que para poder ser feliz, hay que haber conocido la desgracia alguna vez.
- Hmm.
Y así seguimos media horita al cabo de la cual me pasa la pantalla del ordenador por la espalda, lo que me hace cosquillas en la nuca. " Excelente ", dice cada vez antes de marcharse. Yo creo que quiere decir " sobresaliente ". Un sobresaliente es la nota que saco en todas las asignaturas, en esta también.

Catherine y yo compartimos el mismo dormitorio. Ella es cinco años mayor que yo. Supongo que ella también es amable. Esta mañana le pedí que me trenzara el cabello. Casi había terminado cuando soltó un grito.
- Tienes una cosa rara en la nuca. Un redondel duro debajo de la piel. ¡ Joder ! si es igual que el chip de mi perro.
Corrió a buscar su movil, y se puso a escanear mi nuca.
- ¡ Joder, increíble ! Tienes por lo menos 2GB de datos metidos en le pescuezo. Es un chip. No me equivoco. Ven, vamos a la aula de informática.
Acopló su movil al USB de uno de los centenares de ordenadoras del colegio, y nos pusimos a leer.
- Está todo en inglés.  No le entiendes ¿ verdad ? Déjame que lo lea, y luego te lo cuento.
Mientras la observaba, me pregunté si no sería mejor llevarla a la enfermería. Estaba a punto de desmayarse.
-  Oh, pequeña Mary , eres transgénica.
- ¿ Como el maíz, la soja, el brócoli, los cerdos ?
- Sí, cariño. Perteneces a la multinacional Masancta Unlimited. Tu nombre es Lab-Sur-2134-lit.251-2/10. La patente está registrada en la Europäisches Patentamt, München, Alemania. 2134 debe ser el año de tu nacimiento. Lit. podría significar " litter ", camada en inglés. Fuiste la segunda de diez que nacieron del mismo embarazo en un laboratorio  de Surrey, Inglaterra. Tus nueve hermanas y tú sois absolutamente idénticas. Todas lleváis el logotipo de Masancta, una estrella, en el pómulo derecho. Tu madre murió durante la cesárea. Estudiante en biología, se presto al experimento a cambio de 5.000 libras. ¡ Espera ! Aquí pone que alguien, no figura el apellido, ya tiene una opción sobre ti. Pagó 10 millones de dólares. Otros 10 millones serán debidos el día de tu entrega. Él manda cada mes los gastos de tu educación al internado. Mira, aquí se estipula que tanto tu salud corporal como mental están garantizadas hasta que cumplas cien años. Por cada hijo o hija que engendres, se acuerda el pago de 50.000 dólares, valor del 2134, al que se adicionará el porcentaje de inflación anual oficial determinado por el Banco Internacional de Desarrollo y Apoyo a blablabla. Esta cláusula se extiende a todos tus descendientes, quedando ellos propiedad de Masancta Unltd.

Sollozando, Catherine apagó el ordenador. Yo no lloré. No sé llorar.

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Dos noticias en la prensa están al origen de este cuento :
1) - En un futuro próximo habrán desaparecido los seres humanos rubios ( vale ¿ y qué ).
2) - La empresa británica Plant Bioscience ha presentado al registro europeo de patentes en Munich la solicitud de patentar el brócoli  sin  que sea transgénico siquiera ( esto va de peor en peor ).